Ici tout commence : “Tu veux tout faire foirer ?” – Le résumé complet du jeudi 6 novembre 2025 [SPOILERS]

L’épisode du 6 novembre 2025 d’Ici tout commence s’annonce comme l’un des plus explosifs de la semaine. À l’Institut Auguste Armand, la tension monte à un niveau rarement atteint : trahisons, aveux, ambitions contrariées et secrets dévoilés s’entremêlent dans une atmosphère aussi électrique que savoureuse. Les élèves et professeurs vont devoir affronter leurs propres contradictions, et certaines vérités risquent bien de tout faire voler en éclats.

Dès les premières minutes, une scène tendue met le ton. Boris et Muriel, en pleine discussion dans les cuisines, s’affrontent sur la marche à suivre pour la présentation de leur projet gastronomique. Muriel, perfectionniste jusqu’à l’obsession, veut tout contrôler. Boris, lui, en a assez de se sentir mis de côté. « Tu veux tout faire foirer ? » lui lance-t-il, excédé par son attitude autoritaire. Ce face-à-face, d’abord professionnel, tourne rapidement au règlement de comptes personnel. Les rancunes accumulées depuis des semaines éclatent, et leurs voix résonnent dans les couloirs.

Leur dispute n’échappe à personne. Claire et Clotilde, alertées par le bruit, interviennent pour tenter d’apaiser la situation. Mais les deux jeunes cuisiniers, trop blessés par leurs frustrations respectives, refusent de se calmer. Ce conflit révèle un malaise plus profond au sein de l’équipe : chacun cherche à prouver sa valeur, quitte à écraser l’autre. Clotilde, toujours soucieuse du bon déroulement du concours interne, redoute que cette mésentente ne compromette la réputation de l’Institut.

Pendant ce temps, un autre duo attire l’attention : Pénélope et Gaëtan. Après des semaines de non-dits, une conversation honnête s’impose enfin entre eux. Pénélope, troublée par ses sentiments, se confie à Gaëtan dans un moment d’intense vulnérabilité. Elle avoue qu’elle n’a jamais cessé de penser à lui, mais qu’elle craint que leur relation mette en péril sa place à l’Institut. Gaëtan, touché par sa sincérité, lui répond avec douceur : « On ne peut pas toujours tout maîtriser. » Cette scène d’une grande tendresse contraste avec l’atmosphère tendue du reste de l’épisode.

De son côté, Teyssier poursuit son enquête personnelle. Le directeur, toujours à l’affût du moindre scandale, sent que quelque chose se trame derrière les rivalités entre élèves. Son flair ne le trompe pas : un secret de taille menace l’équilibre du groupe. En fouillant dans les dossiers, il découvre des incohérences troublantes dans les notes d’évaluation de certains étudiants. L’un d’eux aurait été favorisé… mais par qui ? Teyssier, rusé, décide de garder cette information pour lui — pour le moment.

En parallèle, Anaïs et Salomé se retrouvent confrontées à un dilemme moral. Alors qu’elles préparent leur prochain service, elles découvrent qu’un ingrédient essentiel de leur plat a été saboté. L’huile d’olive, remplacée par une version altérée, risque de ruiner leur recette. Qui a pu faire une chose pareille ? Les soupçons se portent vite sur un rival jaloux, mais aucune preuve tangible ne vient confirmer cette hypothèse. La tension monte entre les brigades, et la confiance, déjà fragile, s’effrite encore un peu plus.

La journée prend une tournure plus sombre lorsqu’un événement inattendu bouleverse le calme apparent de l’Institut. Catherine, membre du conseil d’administration, fait une arrivée remarquée pour un contrôle surprise. Elle exige des explications sur la gestion des stocks et les dépenses du dernier trimestre. Son ton est glacial, et ses regards appuyés vers Clotilde en disent long : une confrontation se prépare. Dans une scène tendue, Catherine met Clotilde face à ses responsabilités, insinuant qu’elle dissimule des irrégularités. Cette attaque frontale déstabilise Clotilde, mais celle-ci se défend avec dignité.

Plus tard, dans les jardins, Boris retrouve Muriel pour tenter d’apaiser la situation. Mais au lieu de calmer le jeu, leur conversation dérape à nouveau. Boris l’accuse de mentir depuis le début, de manipuler les autres pour sauver sa peau. Muriel, piquée au vif, réplique qu’il ne comprend rien à la pression qu’elle subit. Le ton monte jusqu’à ce qu’une révélation tombe : Muriel admet avoir caché une information essentielle à son équipe — une erreur de calcul dans leur menu qui pourrait tout compromettre lors de la dégustation finale. Boris, furieux, quitte les lieux, déterminé à tout révéler à Teyssier.

Dans le même temps, les élèves de première année assistent, impuissants, à cette guerre ouverte entre leurs aînés. Malik, toujours observateur, comprend que cette crise dépasse une simple compétition. Il en parle à Léonard, qui tente d’intervenir discrètement pour éviter un scandale. Mais à l’Institut, les secrets ne restent jamais enfouis bien longtemps.

La fin d’après-midi marque un tournant dramatique. Teyssier, alerté par Boris, convoque Muriel dans son bureau. Le face-à-face entre eux est d’une intensité rare. Muriel, acculée, tente de se défendre, mais le directeur ne laisse rien passer. « Tu crois pouvoir me berner ? » lui lance-t-il, son regard perçant. Elle finit par craquer et avoue sa faute. Teyssier, froid et implacable, la met en garde : si elle veut sauver sa carrière, elle devra se dénoncer publiquement avant qu’il ne le fasse lui-même.

Cette humiliation est un coup dur pour Muriel. Elle quitte le bureau les larmes aux yeux, consciente que sa réputation est en jeu. À l’extérieur, elle croise Catherine, qui la dévisage d’un air sévère. Une tension silencieuse s’installe entre les deux femmes — une tension qui laisse présager un secret partagé. Catherine semble savoir bien plus qu’elle ne veut l’admettre.

La soirée tombe sur l’Institut, mais le calme est loin de revenir. Dans la salle de dégustation, les équipes s’affairent en vue du grand événement du lendemain. Les visages sont fermés, les regards fuyants. Chacun se prépare à affronter les conséquences de ses choix. Teyssier, depuis son bureau, observe tout cela avec un sourire énigmatique : il sait que la tempête ne fait que commencer.

Dans les dernières minutes de l’épisode, une scène poignante vient conclure la journée. Muriel, seule dans les cuisines, effondrée, regarde la carte du menu qu’elle a tant travaillé. Elle murmure : « J’ai tout gâché… » Soudain, une silhouette apparaît derrière elle : c’est Boris. Contre toute attente, il lui tend la main et lui dit simplement : « Alors, on répare ensemble ? » Ce geste inattendu laisse entrevoir une possible réconciliation — mais aussi une alliance fragile, prête à éclater au moindre faux pas.

L’épisode du 6 novembre 2025 d’Ici tout commence s’impose ainsi comme un condensé de tout ce qui fait la force de la série : des intrigues croisées, des émotions à vif, et des dialogues ciselés. Les personnages y sont plus humains que jamais, tiraillés entre ambition, fierté et culpabilité. L’écriture met brillamment en lumière la complexité des rapports de pouvoir au sein de l’Institut, tout en explorant la frontière fine entre réussite et trahison.

Ce chapitre laisse derrière lui une question brûlante : jusqu’où sont-ils prêts à aller pour atteindre leurs rêves ? Une chose est sûre — à l’Institut Auguste Armand, les flammes de la passion et de la rivalité ne sont pas prêtes de s’éteindre.