Le mariage de Martin et Raphaëlle aura lieu ce vendredi 31 octobre 2025 dans Demain nous appartient. Préparatifs, ambiance festive et météo capricieuse, TF1 nous plonge dans les coulisses de cet épisode exceptionnel.

C’est le grand jour dans Demain nous appartient !
Ce vendredi 31 octobre 2025, les fidèles du feuilleton sétois vont enfin assister au mariage tant attendu de Martin (Franck Monsigny) et Raphaëlle (Jennifer Lauret). Mais avant de découvrir cet épisode événement, TF1 dévoile les coulisses d’un tournage pas comme les autres.
“C’est le jour J ! Le mariage entre Martin et Raphaëlle dans cette sublime cour intérieure du château de Castries. Que les festivités commencent !” lance Franck Monsigny dans une vidéo making of disponible sur la plateforme TF1+.
Les caméras nous plongent alors au cœur de ce décor magnifique où se tournent les scènes clés d’un épisode qui promet déjà d’entrer dans l’histoire du feuilleton de TF1. Entre préparation et bonne humeur, autant dire que l’ambiance était à la fête.
La surprise de la robe et les préparatifs de la cérémonie
Franck Monsigny a tenu à garder la surprise jusqu’au bout avant de découvrir la robe de mariée de sa partenaire de jeu. “Je crois qu’elle est là mais je n’ai pas encore vu la robe” chuchote le comédien.
Quelques instants plus tard, on le retrouve aux côtés de Jennifer Lauret, radieuse dans sa robe blanche. Le comédien confie alors : “Elle est sublime. C’est très joli“.
Tandis que les costumes choisis semblent ravir les comédiens, ces derniers profitent de la présence des caméras de TF1 pour nous offrir un avant-goût de ce que réserve cet épisode exceptionnel.
“On va faire la fameuse cérémonie suspense où on va peut-être se dire oui. C’est un peu l’objectif de la journée. Et il va y avoir un petit stress parce que la mariée ne va pas arriver en temps et en heure. Ensuite, on s’en ira de la manière la plus protocolaire et traditionnelle : à dos de bécane avec un costume particulier“, dévoile Franck Monsigny.
Quand le froid s’invite sur le plateau
Si le soleil semble de la partie à l’écran, la météo n’a pourtant pas épargné l’équipe. En effet, le vent est venu quelque peu perturber le tournage.
“On se pèle ! ” lance Julie Debazac, l’interprète d’Aurore, emmitouflée dans un plaid. Autour d’elle, doudounes et bouillottes s’accumulent.
“Retire-moi ça, il va me voir avec le truc ! J’en n’ai pas besoin, je suis fort !“, s’amuse Mayel Elhajaoui en retirant son peignoir. Un peu plus loin, Franck Monsigny, Lola Dubini et Samy Gharbi partagent le même plaid. “C’est pas ce que vous croyez, on est juste des pingouins, on se regroupe” plaisante Lola Dubini. Avant d’ajouter : “Il fait froid, mais chaud dans les cœurs“.
Une danse pour l’ouverture de bal et un départ en moto
Après la cérémonie, place à la fête ! Martin et Raphaëlle ouvriront le bal sur un titre de Marvin Gaye.
“C’est une danse qu’on a préparée avec un peu d’apports personnels, selon qui on est. Au-delà de la technique, j’espère qu’on verra surtout la connexion qu’il y a entre nous deux à l’écran“, confie Franck Monsigny.
Puis, les jeunes mariés s’éclipsent à moto. “Ils se sont servis de mes compétences de motard ! J’ai le permis. On va partir en Harley. On va réveiller le quartier parce qu’on va faire 20 fois la prise et après on aura terminé la journée“, s’amuse l’interprète du commandant Constant.
Une journée inoubliable pour Franck Monsigny et Jennifer Lauret
Malgré le froid et les longues heures de tournage, Franck Monsigny et Jennifer Lauret gardent un excellent souvenir du mariage de leurs personnages.
“Ça s’est au final très bien passé parce que c’est une journée assez longue à dérouler qui n’était pas sous les meilleures auspices de la météo. On a eu un peu froid mais je pense que ça ne se verra pas à l’écran. On va réchauffer tout ça. Beaucoup de figurants, un très grand cadre, beaucoup de rôles donc il fallait une très bonne gestion, ce qui a été le cas. Et au final, beaucoup de joie avec un moment de danse et l’impression d’être vraiment à une fête. Ça a beau être une journée de tournage, on est quand même sur un moment particulier où on est content de se retrouver“, conclut Franck Monsigny.