Demain Nous Appartient (spoiler) : Judith et Jordan inquiets pour… – Le drame qui secoue Sète, un secret menace la famille Delcourt
Le soleil se lève sur Sète, mais l’atmosphère est lourde. Une tension presque palpable plane sur la maison des Delcourt. Ce matin-là, Judith et Jordan se lèvent plus tôt que d’habitude. Un silence étrange s’est installé depuis la veille, comme une ombre qui s’invite à table. Quelque chose ne tourne pas rond, et ils le sentent.
Tout a commencé quelques jours plus tôt, lorsqu’un événement inattendu est venu bouleverser la routine des Delcourt. Un message, reçu en pleine nuit, a tout déclenché. Une simple phrase : “Tu crois vraiment que tout est fini ?”
Judith d’abord pense à une mauvaise blague. Mais quand elle reconnaît le numéro — celui d’une personne qu’ils ne devaient plus jamais revoir — la peur s’installe. Et Jordan, plus pragmatique, sent que cette histoire pourrait être bien plus grave qu’elle n’y paraît.
Depuis, la méfiance s’installe, les regards se croisent, les mots deviennent rares. Judith, d’ordinaire si sûre d’elle, n’arrive plus à se concentrer sur son travail à la ferme. Jordan, lui, la suit du regard, inquiet, sans savoir comment l’aider.
Il sent qu’elle cache quelque chose. Et il a raison.
Le soir, sur la terrasse du mas, elle finit par lui avouer la vérité : quelqu’un la suit depuis plusieurs jours. Des appels anonymes, une voiture garée non loin, des photos glissées sous la porte. Tout indique qu’elle est observée.

— “Je crois que quelqu’un me surveille, Jordan. Je ne suis pas folle.”
— “Tu aurais dû m’en parler avant !”
— “Je ne voulais pas t’inquiéter… ni inquiéter maman.”
Mais il est trop tard pour le silence. Car dans les heures qui suivent, la situation prend une tournure inquiétante.
Le lendemain, Judith découvre que son téléphone a été piraté. Ses messages, ses mails, ses photos — tout semble avoir été consulté. Pire encore : une vidéo anonyme circule, montrant quelqu’un rôdant autour de la maison des Delcourt en pleine nuit. Les images sont floues, mais l’intention est claire : quelqu’un veut leur faire peur.
Jordan, d’abord calme, finit par perdre son sang-froid. Il confronte tout le monde : Noor, Nathan, même Chloé, espérant trouver une explication rationnelle. Mais personne ne comprend.
C’est alors qu’une nouvelle découverte vient tout bouleverser : sur la vidéo, un détail attire leur attention. Un bracelet en cuir, le même que celui qu’un certain Damien, un ancien employé de la ferme, portait autrefois. Or, Damien a quitté Sète après un conflit violent avec Judith… et un secret jamais révélé.
Judith comprend qu’il pourrait s’agir d’une vengeance. Mais pourquoi maintenant ? Et surtout, que cherche-t-il ?
Les Delcourt décident de ne rien dire à la police, du moins pas encore. Chloé, inquiète, veut éviter d’attirer l’attention médiatique. Mais plus les jours passent, plus la situation dégénère. Des objets déplacés dans la maison, un bruit dans le jardin la nuit, et surtout… une lettre anonyme glissée sous la porte :
“Tu m’as volé ma vie. Maintenant, je prends la tienne.”
Judith s’effondre. Jordan, lui, devient son protecteur. Il promet de ne plus la laisser seule une minute. Ensemble, ils commencent leur propre enquête.
Ils fouillent les dossiers anciens de la ferme, les contrats, les relevés, et découvrent une anomalie : un transfert d’argent mystérieux, effectué quelques semaines avant le départ de Damien. Une somme importante, signée du nom de Judith. Or, elle n’a jamais fait ce virement. Quelqu’un a utilisé son identité pour le piéger.
La vérité commence à se dessiner : Damien aurait été accusé à tort, ruiné par une manipulation. Et aujourd’hui, il reviendrait pour se venger.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Alors que Jordan et Judith cherchent des preuves, ils découvrent un autre indice troublant : une clé USB cachée dans une boîte à outils, contenant des enregistrements audio. Dans l’un d’eux, on entend une voix masculine, pleine de colère :
“Ils ont détruit ma vie. Et maintenant, ils vont payer.”
Le doute n’est plus permis. Judith comprend qu’ils sont en danger.
La tension monte encore d’un cran lorsqu’un soir, de retour de la plage, Jordan aperçoit une silhouette près de la serre. Il s’élance, tente de la rattraper, mais la personne disparaît dans la nuit. Sur le sol, un seul indice : un bracelet en cuir, identique à celui de Damien.
Le lendemain, la peur envahit toute la maison. Chloé et Alex décident de prévenir la police. Martin Constant et Nordine prennent l’affaire très au sérieux. Une surveillance est mise en place, mais l’angoisse reste.
Judith vit dans la crainte, Jordan ne dort plus. Leur couple, pourtant solide, commence à se fissurer sous la pression.
C’est alors qu’un nouvel élément change tout. Une vidéo anonyme, encore, mais cette fois tournée à l’intérieur même de la maison. Quelqu’un s’est introduit chez eux, de nuit. Les images sont insoutenables : Judith endormie, filmée à quelques centimètres de son lit.
Jordan explose de rage. Il promet de retrouver l’auteur de ce cauchemar. Mais avant même qu’il puisse agir, la police fait une découverte bouleversante : Damien n’est pas revenu à Sète. Son alibi est solide, prouvé. Alors, qui se cache derrière tout ça ?
Le doute s’installe à nouveau. Et si la menace venait de plus près ? Quelqu’un qu’ils connaissent tous, quelqu’un de la famille ?
Dans les dernières minutes de l’épisode, la caméra s’attarde sur Judith, seule dans le jardin, observant le coucher du soleil. Elle sent qu’on la regarde. Et soudain, un flash : un reflet métallique dans les buissons. Quelqu’un est là. Elle appelle Jordan, mais il est déjà trop loin. L’écran devient noir, une respiration haletante se fait entendre.
“Ce n’est pas fini, Judith…”
Le titre apparaît alors, dramatique, sur fond de tension musicale :
“Demain Nous Appartient – L’ombre du passé.”
L’épisode s’achève sur ce suspense insoutenable. Dans les prochains jours, Judith et Jordan devront affronter la vérité : le danger vient peut-être d’une personne qu’ils aiment, un visage familier prêt à tout pour venger un secret d’autrefois.
Et à Sète, quand les secrets refont surface, le soleil n’éclaire plus… il brûle.