Le pardon peut-il effacer les mots qui blessent ? Tandis que Thomas tente de recoller les morceaux avec son fils, Apolline, elle, joue sa vie face à des ravisseurs impitoyables. Ce nouvel épisode de Plus belle la vie bascule entre tension familiale et menace de mort.
Le drame couve au Mistral : entre culpabilité, pardon et menace de mort, l’épisode du 3 octobre 2025 de Plus belle la vie, encore plus belle ne laisse aucun répit. Alors que Thomas tente de réparer l’irréparable, Apolline, elle, se bat pour sa survie entre les griffes de ravisseurs déterminés.
Dans l’épisode 434 diffusé ce vendredi à 13h50 sur TF1, deux intrigues s’entrelacent à Marseille. D’un côté, Baptiste veut reconstruire sa vie, malgré les blessures causées par son père. De l’autre, Apolline lutte pour convaincre ses ravisseurs qu’ils ont pris la mauvaise cible. Pendant ce temps, la police multiplie les indices pour tenter de la sauver à temps.
Baptiste rejette son père, rongé par la honte
L’épisode s’ouvre sur une tension familiale : Thomas n’a toujours pas digéré le choix de vie de Baptiste. Blessé, ce dernier rêve pourtant de fonder sa propre entreprise pour offrir une vie décente à son fils Mathis. Lors d’une discussion avec Blanche, Thomas se voit rappelé à ses responsabilités : “Que tu ne crois pas en ton fils, je trouve ça déconcertant”, lui dit-elle. Elle évoque la douleur que Baptiste a ressentie en l’entendant le traiter de “looser”.
Touché par ces mots, Thomas cherche conseil auprès de Gabriel : “Je m’en veux d’avoir pensé ça de Baptiste”, avoue-t-il. Gabriel lui répond sans détour : “Fais-lui confiance”, et lui suggère de s’excuser. Tentant une approche, Thomas demande à Baptiste de réparer le frigo du Mistral. Mais son fils reste sur la défensive : “J’ai qu’une envie, c’est de monter une entreprise pour pouvoir s’offrir la vie qu’on mérite avec mon fils”, lâche-t-il, toujours blessé. Plus tard, après avoir accepté de rénover des appartements pour une agente immobilière, Baptiste ne peut s’empêcher de lancer : “Ça va, l’immobilier ça ne fait pas trop looser ?”
Thomas, humilié, prend conscience de l’ampleur de ses paroles passées. Il réitère ses excuses, sans pour autant réussir à réparer les dégâts.
Apolline en danger, la police accélère l’enquête
L’autre fil rouge de l’épisode tourne autour du kidnapping d’Apolline. Confondue avec Ophélie Kepler, elle est toujours retenue prisonnière. Elle tente en vain de faire entendre raison à ses ravisseurs, leur assurant qu’ils se sont trompés de cible. Lorsqu’elle leur demande de vérifier son identité sur les réseaux sociaux, ils refusent de la croire.
Un détail va cependant tout faire basculer : au commissariat, Nisma signale la disparition de son amie Apolline. À la question de Boher sur la présence de vernis à paillettes argentées sur ses ongles de pieds, elle confirme. Ariane et Boher comprennent alors que l’orteil sectionné retrouvé dans un colis est bien celui d’Apolline. Une analyse ADN va bientôt confirmer leur intuition.
Parallèlement, les enquêteurs identifient Tiago Dorin comme l’expéditeur du colis et se lancent à sa recherche. Lorsque Charlotte, médecin légiste, confirme l’identité de la victime, le doute n’est plus permis : Apolline est bien l’otage, et elle est en danger de mort.
La menace s’intensifie pour Apolline
La tension monte d’un cran chez les ravisseurs. L’un d’eux reconnaît leur erreur : “Tu vas nous débarrasser d’un poids mort. La rousse, tu l’emmènes ici et tu la butes”. De son côté, Vanessa panique et confie à Ulysse : “Dans ce cas, Ophélie leur est totalement inutile. Ils n’ont aucun intérêt à la garder vivante.”
Apolline devient alors une cible directe. Ce qui n’était qu’une erreur d’identité se transforme en course contre la montre pour la police, alors que la jeune femme risque d’être exécutée pour une faute qu’elle n’a pas commise.