🎬 Ici Tout Commence spoiler : Anaïs remontée contre Milan qui… (épisode du 11 novembre)
L’ambiance à l’Institut Auguste Armand est plus électrique que jamais. Alors que la tension semblait retomber après plusieurs jours d’émotions fortes, un nouvel orage éclate, cette fois autour d’Anaïs. La jeune cheffe, d’ordinaire si posée et rationnelle, va montrer un visage qu’on lui connaît peu : celui de la colère. Et la cible de cette fureur n’est autre que Milan, le nouvel élève plein d’assurance, dont l’attitude commence à agacer sérieusement ses camarades… mais aussi ses professeurs.
Tout commence dans les cuisines, où Anaïs prépare avec minutie un menu expérimental destiné à un futur événement gastronomique. Milan, lui, s’invite dans la conversation sans y avoir été convié, lançant des remarques aussi piquantes que déplacées sur les choix de la cheffe. Convaincu qu’il détient la vérité absolue en matière de cuisine moderne, il critique ouvertement la vision culinaire d’Anaïs, insinuant qu’elle « reste coincée dans une approche trop classique ». Si certains étudiants esquissent un sourire gêné, Anaïs, elle, encaisse difficilement. Sa patience, pourtant légendaire, est mise à rude épreuve.
Mais ce n’est que le début. Quelques heures plus tard, Anaïs découvre que Milan a profité d’un moment d’inattention pour modifier sa préparation sans la prévenir. Une touche personnelle qu’il estime « indispensable pour relever le plat ». En goûtant, Anaïs comprend immédiatement que la texture et l’équilibre des saveurs ont été altérés. Pire encore : ce sabotage pourrait mettre en péril la démonstration prévue devant Clotilde et Lisandro. Le sang d’Anaïs ne fait qu’un tour. Elle confronte Milan en pleine cuisine, sous le regard médusé des autres élèves. Le ton monte très vite : Anaïs accuse Milan d’avoir franchi la ligne rouge, celui-ci répond qu’elle refuse la critique et qu’elle a peur de l’innovation.
Ce clash devient le centre de toutes les discussions à l’Institut. Certains élèves prennent le parti d’Anaïs, comprenant qu’un tel manque de respect ne peut être toléré. D’autres, intrigués par l’audace de Milan, voient en lui un provocateur génial, un esprit rebelle qui dérange. Lisandro, quant à lui, tente d’apaiser les esprits, mais Anaïs, blessée dans son travail comme dans sa fierté, ne veut rien entendre. Elle envisage même d’écarter Milan du projet collectif sur lequel ils devaient collaborer.
En parallèle, Clotilde, témoin indirect de la scène, décide d’intervenir. Elle convoque Anaïs dans son bureau et lui demande de garder la tête froide. Selon elle, Milan doit être recadré, mais il serait contre-productif de réagir sous le coup de la colère. Anaïs, les poings serrés, confie à sa supérieure qu’elle se sent trahie. Depuis son retour à l’Institut, elle se bat pour imposer son style et sa légitimité, et voir un élève piétiner son travail la rend furieuse. Clotilde, dans un rare moment de douceur, lui rappelle que l’autorité d’un chef se mesure autant à la rigueur qu’à la maîtrise de ses émotions.
De son côté, Milan semble loin de regretter ses actes. Il confie à Souleymane qu’il voulait simplement “secouer un peu” Anaïs, persuadé que son talent mérite mieux que “des recettes bourgeoises trop convenues”. Mais derrière ses airs arrogants, Milan cache sans doute un besoin de reconnaissance et une forme d’admiration mal exprimée envers la jeune cheffe. Pourtant, Anaïs n’est pas prête à lui accorder la moindre excuse. Lorsqu’elle le croise à nouveau dans les couloirs, elle le toise froidement et lui annonce qu’elle ne veut plus qu’il participe à ses ateliers.
La situation dégénère encore lorsque le directeur Teyssier apprend ce qu’il s’est passé. Pour lui, tout incident en cuisine, aussi anodin soit-il, est un affront à l’excellence de l’Institut. Il convoque Milan et lui fait comprendre que son comportement pourrait lui coûter sa place. Mais au lieu de s’excuser, Milan défend bec et ongles sa vision de la cuisine contemporaine et va jusqu’à accuser Anaïs d’avoir “peur du changement”. Cette audace provoque un silence glacé dans le bureau. Teyssier, amusé par le culot du jeune homme, décide finalement de ne pas l’exclure, mais lui impose une sanction exemplaire : il devra cuisiner sous la supervision directe d’Anaïs pendant une semaine.
Ce retournement de situation choque Anaïs. Travailler main dans la main avec celui qui l’a humiliée ? Impossible ! Pourtant, Lisandro la pousse à accepter : c’est l’occasion rêvée de remettre Milan à sa place en prouvant son talent et son autorité. Peu à peu, Anaïs comprend que fuir le conflit ne ferait que donner raison à son adversaire. Elle accepte donc à contrecœur de relever le défi.
Les jours suivants, les deux cuisiniers se retrouvent côte à côte en cuisine. L’atmosphère est glaciale, chaque geste est une épreuve. Mais au fil des heures, quelque chose change. Milan découvre la précision du travail d’Anaïs, son exigence et sa sensibilité gustative. Quant à elle, elle perçoit derrière son arrogance une réelle passion pour la création culinaire. Une tension palpable naît entre eux, oscillant entre rivalité et fascination.
Et quand le grand jour de la présentation arrive, leur plat commun surprend tout le monde. L’association inattendue de leurs styles — la rigueur d’Anaïs et l’audace de Milan — donne naissance à une assiette d’une finesse remarquable. Même Teyssier, pourtant avare de compliments, esquisse un sourire approbateur. Anaïs, fière mais discrète, reconnaît enfin que Milan a su apporter quelque chose de différent… sans pour autant lui pardonner son arrogance passée.
L’épisode se clôt sur un dernier échange plein de sous-entendus. Milan, le regard malicieux, glisse à Anaïs qu’il est “rare de croiser quelqu’un capable de lui tenir tête”. Elle, glaciale, lui répond : “Habitue-toi, parce qu’ici, je ne baisse pas les bras.”
✨ Dans cet épisode explosif du 11 novembre, “Ici Tout Commence” promet un duel culinaire et émotionnel de haut vol. Entre respect, orgueil et passion, la relation entre Anaïs et Milan risque bien de redéfinir les équilibres au sein de l’Institut. Et si derrière cette colère se cachait le début d’une alliance… ou d’une attirance inattendue ?
